la rue de steinkerque

Dans ce quartier sympathique et vivant de Paris, Montmartre, la rue de Steinkerque est le passage logique entre le boulevard Rochechouart et le Sacré Coeur ... Le Metro Anvers, les bus, les cars de voyage déversent des centaines de touristes tout au long de la journée.

Cette foule discontinue au porte monnaie bien rempli attire les boutiques de souvenirs, la restauration rapide, etc ... Mais également les vendeurs à la sauvette, les mendiants, les pique-pockets et ... les joueurs de Bonneteau.

La nuit est également très vivante avec l'Élisée Montmartre et différents bars et lieux nocturnes animés.

Pour les habitants, le bruit est présent et représente un paramètre gênant au quotidien 24h sur 24. Il est donc important de définir des limites et des règles à essayer de faire respecter par chacun des acteurs de ce microcosme turbulent.

Ce blog a pour but de réunir les idées et énergies qui vont permettre de faire évoluer les choses, pour permettre à chacun de vivre rue de Steinkerque heureux.

Les joueurs de Bonneteau sont nombreux : entre 50 et 70 personnes dans la rue, représentant joueurs, complices, guêteurs, "banquiers", etc.

Le niveau sonore atteind parfois des sommets difficilement supportables pour les habitants.

La police passe régulièrement : tous alors se fondent dans la foule au signal des guêteurs et recommencent dès que les fonctionnaires ont tourné au coin de la rue ! Ni les élus, ni la préfecture ne veulent prendre les decisions pour arrêter ce phénomène.

Il faut trouver des solutions nous même pour survivre. Il ne faut surtout pas essayer de lutter contre le système, qui dure depuis très longtemps et surtout qui rapporte énormément d'argent.

 Que faire pour lutter :

Certaines tables de jeux sont plus bruyantes que d'autres, il faut agir sur celles-là de manière ciblée, crier sur la table visée ! Et si pas de resultat, jeter un verre d'eau ... Les résultats de ces derniers temps montrent l'efficacité de cette méthode : certains ont changé de place ou même ne sont plus là.

Nous sommes tous concernés et nous pouvons tous agir.